Au début des années 1960, la fermeture des mines boraines est devenue inéluctable. Le charbon
recule devant le pétrole et le gaz. Désormais il coûte moins cher d'importer du charbon que de
l'extraire. L’heure de la reconversion a sonné pour la région et pour les mineurs. Avec l’arrêt de
l’activité extractive, les Charbonnages du Borinage ne disparaissent pas pour autant. Il reste
notamment la délicate question de la réparation des dégâts houillers. Mais aussi la gestion et la
vente des biens domaniaux. Il fallait gérer l’après-mine.