À l'heure où le bien-être animal est, plus que jamais, un enjeu de société, les refuges et associations de Mons-Borinage revendiquent un soutien financier, un meilleur suivi en termes de sanctions mais également, une reconsidération du secteur.
Des chiens abandonnés, saisis, des chats errants, voilà le quotidien des associations et refuges qui dénoncent plusieurs revendications, à commencer par le manque de considération et de soutien financier.
Même son de cloche du côté de l’Etoile de Bonté, à Quaregnon.
A ce premier aspect financier s’ajoute les frais de vétérinaires qui sont pour eux, à l’origine de la recrudescence d’abandons.
Parmi les revendications du secteur, on retrouve le manque de suivi et de sanctions en cas de maltraitance.
Des sanctions de nouveau jugées trop légères par rapport a a à l’identification et à la stérilisation de ces animaux.
Pour les acteurs du monde du bien-être animal, il en va de leur propre survie.