Électricien, agent de sécurité… qui sont ces petites mains qui ont travaillé dans l’ombre afin d’émerveiller les spectateurs de Mons en lumières ? Le festival qui a illuminé la ville de Mons s'est terminé ce dimanche et pour l'occasion, nous avons rencontré ceux sans qui rien n'aurait été possible.
Embarquez pour la découverte de Mons en lumières, comme vous ne l’avez jamais vu. Peut-être parce que vous n’avez tout simplement pas pû vous y rendre, mais également, ceux à côté de quoi ou plutôt de qui vous êtes passés.
Ils vous ont tantôt indiqué le chemin, tantôt aidé, branché les interrupteurs, mais surtout, ils ont rendu le festival des lumières possibles. En tout, une centaine de membres ont œuvré dans l’ombre afin d’émerveiller le public de Mons en lumières.
Kenza et Claude s’occupent d’accueillir les visiteurs, de les renseigner et gérer les foules. Leur objectif ? Veiller à la bonne gestion de flux.
Loin de la foule, Jean-Louis s’occupe des raccordements entre les installations de la ville et celles des artistes. Ici, dans la régie du beffroi, il a tiré des kilomètres de câbles nécessaires pour éclairer les œuvres et ça, pour le plus grand plaisir des visiteurs.
Mais le festival a également connu son lot d’imprévus, y compris pour les artistes et bénévoles. Que ce soit au niveau des conditions climatiques ou face à quelques impatients.
Au cours des deux week-ends qui ont illuminé la ville de Mons, ces petites mains ont également relevé des points à améliorer pour les prochaines années.
« J’ai pu parler avec des gens qui venaient de France, de Suisse, du Brésil carrément. Les gens sont très heureux, parce que déjà, c'est gratuit et ils sont toujours très bien accueillis et on essaie le plus possible que les gens soient à l’aise. Et de répondre à tous les problèmes ».