Le club de futsal du Fraternité Frameries organisait, ce samedi, la troisième édition de son tournoi de Noël. Au programme : des matchs entre des clubs locaux et régionaux, des équipes de jeunes (U7, U9 et U11), mais surtout une volonté d'implanter durablement le futsal dans la région framerisoise.
60. C'est le nombre d'affiliés inscrits sur les deux dernières années au sein du club framerisois. Une progression importante pour l'ensemble du club. Créé il y a trois ans, l'objectif de la compétition était de pallier un manque de terrains de futsal pour les jeunes issus de la région, mais aussi de mettre en place un tournoi pour les fêtes de fin d'année, affirme Logan Desomberg, président du Fraternité Frameries :
"Il y a trois ans, nous n'avions pas encore de jeunes, le club s'est dit que ça serait sympa d'organiser un tournoi de Noël. Pourquoi ? Car on sait qu'à cette période, les terrains sont difficiles, gras et qu'on pourrait avoir des équipes demandeuses. L'idée est partie de là, en tout cas".
"Passer du bon temps avec les copains"
Pour les jeunes joueurs, cette nouvelle édition est l'occasion de faire parler la poudre devant les buts, mais aussi de retrouver les nombreux camarades. Si la finalité du tournoi n'a pas encore rendu son verdict, les avis sont unanimes : cette compétition doit perdurer.
"C'est bien de gagner des matchs, de marquer des buts, mais surtout de passer du bon temps avec les copains", Lucas, défenseur au Fraternité Frameries.
"Ce genre de journée, c'est vraiment cool. On voit tous les copains et surtout, on s'amuse bien", Andrea, gardien du Fraternité Framerisois.
Les parents, des coéquipiers de l'ombre
Autre public présent en masse : les parents. Souvent au four et au moulin, l'entourage familial est souvent en coulisses pour permettre à leurs enfants de participer à ce type d'événement. Certains, comme Laurent Stiernon suivent tous les matchs du club, avec parfois une complexité du calendrier.
"Mon gamin a commencé par le football et le mini-foot avant d'arriver dans le futsal. Ici, ça fait 4 ans qu'on le suit tous les week-ends. Ce n'est pas évident, car il faut combiner ça avec la vie de famille, mais on essaie d'être présent au maximum".