Mons - Des élèves des Ursulines viennent à l'école en vélo

L’heure n’est pas aux lances à incendie mais plutôt aux déguisements de clowns et de tueurs en série pour les pompiers de Quiévrain.    

L'auteur de l'alerte à la bombe dans les bâtiments communaux de la rue Buisseret à Mons ce lundi a été placé sous mandat d’arrêt. Il a été privé de liberté et inculpé pour fausse menace d'attentat. Le montois aurais justifié ses actes pour la prise d'un rendez-vous avec l’administration qui tardait trop à son goût. Pas sûr que paralyser l'activité des services communaux pendant 2 heures facilite la fixation d'un rendez-vous plus rapide. Pour rappel, une fausse alerte d’attentat est passible d'une peine de prison allant de 3 mois à 2 ans et d'une amende de 400 à 2400 euros.

Le Théâtre du Copion fête cette année ses 40 ans ! Pendant toutes ces années, la compagnie de théâtre-action basée à Saint-Ghislain a multiplié les projets avec un but : faire du théâtre un outil d'expression pour toutes et tous. Retour sur l'histoire du Théâtre du Copion et son activité dans ce reportage.

Ce matin peu après 11h, l'administration communale de Mons située à la rue Buisseret a été évacuée à cause d'une alerte à la bombe.

L'histoire de Mons comme vous ne l'avez jamais entendue, c'est l'approche qu'a choisie l'office du tourisme pour son animation "VisitMonstres" en cette période d'Halloween. Sur le coup de 18 heures, un groupe de 25 personnes a traversé le temps et a découvert les aspects les plus gores et macabres de la Cité du Doudou. 

Un nourrisson français retrouvé aux Pays-Bas grâce au travail des enquêteurs montois. Face à la presse le procureur du Roi, Vincent Macq, est heureux d'annoncer que le petit Santiago a été retrouvé vivant ce vendredi 25 octobre en soirée dans un hôtel d'Amsterdam. Satisfaction, émotion mais également fierté d'avoir mené ce dossier à bien depuis Mons avec la collaboration de la police judiciaire fédérale.

La zone de police boraine, la gendarmerie française, les douanes et les services des taxes du SPW, c'est un dispositif très spécial qui avait lieu ce vendredi soir à Frameries. Le but: renforcer la coopération frontalière. Le duplex sur place de Justin Ferring et Vincent Duez.

Vous connaissez sans doute le magasin "Toubeau" situé à la rue du Miroir à Mons. Cette boutique célèbre, notamment en période de ducasse, pour ses feux d'artifices et déguisements puis pour ses pierres et minéraux va malheureusement fermer après 40 ans d'activité. Pour la propriétaire, Marie-Madeleine, c'est une grande page qui se tourne et de laquelle elle ne gardera que du positif.

Dans le tunnel de la plaine de Nimy, un passage sans-issue ayant la réputation d'un coupe-gorge a été rebouché par la région Wallonne. Un mur a été érigé pour en condamner l'entrée. Une initiative qui répond aux revendications des associations étudiante.

Nathalie Lespagne, tatoueuse, s'est spécialisée dans l'art de masquer les cicatrices. Une technique de tatouage minutieuse qui demande aussi des connaissances médicales. Son but ? Aider les femmes qui ont été atteintes d'un cancer du sein en sublimant leurs cicatrices.

Rencontre avec Marie-Rose Fragapane, une habitante de Jurbise. Bientôt, elle ouvrira un centre de bien-être à Casteau. Sa particularité : il est installé dans une ancienne chapelle. Un projet original, que l'on découvre dans ce reportage.

Avez-vous déjà entendu parler du mycélium ? Il s'agit de la partie racinaire du champignon, qui a des propriétés intéressantes pour l'architecture et le design et que l'exposition "Restaurer les choses" du musée des Beaux-Arts de Mons vous invite à explorer sous un regard artistique.

L'IFAPME, l'institut wallon de formation en alternance de Mons se dote d'un nouvel outil! Il s'agit d'un bâtiment de 50 mètres carrés destiné aux métiers du lait. Les étudiants fromagers, affineurs ou glaciers pourront bénéficier de cet environnement entièrement équipé. Objectif avoué : susciter des vocations dans des métiers en vogue.

C'est un important complexe sportif de padel qui devrait à terme sortir de terre sur l'ancien terrain Godefroid à Frameries. Une première étape vient en tout cas d'être franchie lors du dernier conseil communal de Frameries. Parmi les deux candidats qui avaient soumis une offre, c'est la société ImmoLamblin qui a été retenue par la commune.

8 jours après l'annonce et l'onde de choc qui l'accompagne, l'heure était aux premières discussions entre syndicats et direction ce mercredi. À ce stade encore beaucoup de zones d'ombre. Les interrogations sont nombreuses du côté des travailleurs, les premières réponses devraient être formulées dans les prochains jours. Car avec l'arrêt de la production d'ammoniac, c'est l'ensemble du site qui va devoir évoluer à l'avenir. L'entreprise estime qu'elle devra se séparer d'environ 1/3 du personnel (115 personnes) pour réussir sa reconversion. Mais les inquiétudes sont également importantes pour l'activité annexe et la centaine de sous-traitants.