Dans le tunnel de la plaine de Nimy, un passage sans-issue ayant la réputation d'un coupe-gorge a été rebouché par la région Wallonne. Un mur a été érigé pour en condamner l'entrée. Une initiative qui répond aux revendications des associations étudiante.
Dans ce tunnel piéton qui relie le centre-ville de Mons à la plaine de Nimy, un nouveau mur a été construit par la région Wallonne. L'objectif : boucher un chemin sans issue, et ainsi sécuriser les lieux pour les nombreux étudiants et étudiantes qui le traversent. Ce tunnel était d'ailleurs au coeur des revendications de deux associations étudiantes : la collective féministe "La Mutinerie Montoise" et l'Organisation Représentative des Etudiants de l'Umons (ORE).
Bien plus que des briques aux yeux des associations étudiantes, ce mur représente un pas vers une ville plus sûre pour les citoyens et citoyennes de Mons. Mais le combat ne s'arrête pas là pour l'ORE et la Mutinerie Montoise. Les associations étudiantes sont déjà prêtes à porter leurs prochaines revendications.
Le mur du tunnel de la plaine de Nimy est donc une première victoire pour les associations étudiantes de la ville qui espèrent que, dorénavant, le site sera plus sûr.