Depuis 2017, le CHU HELORA a consacré une partie de ses équipes au traitement de l’endométriose. La cellule Mon(s) endométriose a donc été créée et prend aujourd'hui en charge les cas les plus complexes grâce à la chirurgie robotique.
Cette machine à l’apparence futuriste, équipée de bras articulés, est désormais la plus fidèle alliée de Yaacoub Salamé. Un robot qui opère à la place du chirurgien, qu’il pilote à distance. Cette technique de chirurgie est aujourd’hui utilisée pour traiter les cas complexes d’endométriose. Manier un tel outil demande de la pratique, mais confère de nombreux avantages.
Si cette technologie de pointe est présente au CHU HELORA, c’est parce que depuis quelques années l’hôpital a fait le choix de se spécialiser dans le traitement de cette maladie chronique. La cellule Mon(s) endométriose, réunit aujourd’hui plusieurs spécialistes.
L’endométriose touche environ 10% des femmes, et est une des maladies gynécologiques les plus courantes, pour autant, son traitement semble avoir pris du retard. C’est un réel combat contre le tabou de l’endométriose qui est mené par la cellule. En continuant d’agir, ils espèrent faire avancer la cause.